60 ans d’histoire

C’est au cours d’une soirée de novembre 1960, plusieurs mois après l’exécution de l’oeuvre de Pierre Boulez Visage nuptial, que Jean Batigne dévoile au compositeur le projet des percussionnistes strasbourgeois. Cette rencontre — véritable « scène primitive » de la naissance du groupe — a lieu à Strasbourg, à l’angle de la place Kléber et de la rue du 22 novembre, dans un troquet aujourd’hui disparu nommé le Pic pic. Après avoir annoncé au compositeur la volonté des six musiciens de former un groupe autonome, Jean Batigne reçoit tout d’abord en guise de réponse une mise en garde : où se procurer les instruments nécessaires à un si grand ensemble ? et comment répondre aux contraintes techniques et logistiques qui s’ensuivront ? Quatre percussionnistes ne serait-il pas un nombre mieux adapté, lui suggère-t-il ? Le futur directeur de l’ensemble répond à Pierre Boulez que le groupe doit absolument être composé de six musiciens afin de regrouper les percussionnistes des deux orchestres de la ville — aucun ne doit rester sur la touche. Quant aux instruments, ils seront collectés dans ces deux orchestres, ainsi qu’au conservatoire. Pierre Boulez approuve tout en lui assurant de son soutien, avant d’écrire sur la nappe en papier, en manière de baptême : « Groupe Instrumental à Percussions de Strasbourg ».

Stéphane Roth, 2012

Lire la suite Replier le texte

Focus

1962


Concert inaugural le 17 janvier 1962 à Strasbourg


Le 17 janvier 1962 à l’auditorium de la Maison de la radio de Strasbourg. Premier concert des Percussions de Strasbourg sous la direction de Charles Bruck. Sur la photo, assis au premier rand de gauche à droite : Jean-Paul Finkbeiner, Georges Van Gucht, et Lucien Droller. Debout, de gauche à droite : Claude Ricou, Bernard Balet, Yvonne Loriod, Toto Bissainthe, Charles Bruck et Jean Batigne. Debout également, à l’arrière : Bachir Touré, et deux autres personnes. 

 

 


1962

1972

©Jacques Aubert
Découvrez les événements marquant de la décennie

1957

La classe de percussion de Félix Passerone au Conservatoire de Paris

Photo de promotion 1956-1957 de la classe de percussions de Félix Passerone (créée en 1947) avec Claude Ricou en haut à droite, l’un des membres fondateurs du groupe. ©P. Dannès

 

1960

Jean Batigne propose aux autres percussionnistes de former un groupe lors d’une répétition du « Visage nuptial » de Pierre Boulez

Photographie des débuts de la collaboration artistique et amicale avec Pierre Boulez. De gauche à droite : Jean Batigne, Claude Ricou, Pierre Boulez, Georges Van Gucht. Photographie dite « Les casquettes », Darmstadt, le 15 juillet 1962 après une interprétation du « Marteau sans maitre », (1954) Pierre Boulez. ©DR

1961

Les prémices du Groupe Instrumental à Percussions de Strasbourg

Pierre Boulez au sujet des Percussions de Strasbourg, parle de leur collaboration. Émission « Cool blues et percussion ». 1ère diffusion le 16/01/1963, producteurs : RTF, Paris. ©INA

1962

Concert inaugural le 17 janvier 1962 à Strasbourg

Le 17 janvier 1962 à l’auditorium de la Maison de la radio de Strasbourg. Premier concert des Percussions de Strasbourg sous la direction de Charles Bruck. Sur la photo, assis au premier rand de gauche à droite : Jean-Paul Finkbeiner, Georges Van Gucht, et Lucien Droller. Debout, de gauche à droite : Claude Ricou, Bernard Balet, Yvonne Loriod, Toto Bissainthe, Charles Bruck et Jean Batigne. Debout également, à l’arrière : Bachir Touré, et deux autres personnes. 

 

 

1963

Premières créations : Maurice Ohana, « 4 études chorégraphiques »

Ballet de Maurice Ohana « 4 études chorégraphiques », première chorégraphiée au festival de Strasbourg le 8 juin 1963 par les Percussions de Strasbourg et le chorégraphe Manuel Parrès. Nous distinguons, de gauche à droite : Jean-Paul Finkbeiner, Lucien Droller, Jean Batigne, Georges Van Gucht, Bernard Balet et Claude Ricou. Photo © E. Klein

1965

Premières tournées de récitals à l’international : Pays-Bas, Croatie, Pologne, Espagne, …

Devant la raffinerie de Reichstett, Alsace, avec, de gauche à droite : Jean-Paul Finkbeiner, Claude Ricou, Detlef Kieffer, Jean Batigne, Gabriel Bouchet, Georges Van Gucht. Photo © Jacques Aubert

1967

Renommée grandissante pour l’Ensemble

 Octobre 1967, de gauche à droite : Gabriel Bouchet, Detlef Kieffer, Claude Ricou, Jean Batigne, Jean-Paul Finkbeiner et George Van Gucht.

1968

Création de « Ionisation » d’Edgar Varèse à Paris : une pièce phare de cette première génération

Concert à Paris, le 28 février 1968. Le groupe joue « Ionisation » d’Edgar Varèse à la Faculté de Droit, Paris, rue d’Assas. Entre les jeux d’ombres, nous discernons (de gauche à droite) Gabriel Bouchet, Jean-Paul Finkbeiner, Jean Batigne, Georges Van Gucht, Detlef Kieffer et enfin, Claude Ricou. Photo ©Jacques Aubert

1969

Création de « Persephassa », Iannis Xenakis au Festival des arts de Chiraz-Persepolis

Les Percussions de Strasbourg, en septembre 1969. Festival des arts de Chiraz-Persépolis, Iran. Au programme : »First contruction in metal » de John Cage et « Ionisation » d’Edgar Varèse. Le festival verra aussi naître la pièce « Persephassa » de Iannis Xenakis le 9 septembre 1969.

Perspehassa de Iannis Xenakis est créée a cette occasion. Il ne subsiste que très peu d’archives sur cette pièce car sa disposition en anneau autour du public rend la prise d’images compliquée. Lors de la création à Persepolis, chaque percussionniste était installé sur la souche d’une colonne du palais Darius 1er, la distance entre eux pouvait aller jusqu’à 50m.

 

1970

Les Percussions de Strasbourg jouent sur différents continents

Avec les sacs Percussions de Strasbourg à leurs pieds, apparaissent (entres autres) Claude Ricou, Jean-Paul Finkbeiner, Gabriel Bouchet, Georges Van Gucht, Jean Batigne et Detlef Kieffer. Départ pour la tournée en Amérique du Nord et Mexique en 1969.

1971

Les percussions de Strasbourg sillonnent le monde et enregistrent « Persephassa » de Iannis Xenakis

Photo ensemble, discutant autour des partitions : de gauche à droite : Detlef Kieffer, Jean-Paul Finkbeiner (de dos), Claude Ricou, Gabriel Bouchet (debout), Jean Batigne et Georges Van Gucht. Enregistrement de « Persephassa » (1969), Xenakis, à Strasbourg, église Saint-Paul, les 21-23 janvier 1971. ©DR

Du 21 au 23 janvier, les Percussions de Strasbourg enregistrent Persephassa. En août, ils partent de France pour un tour du monde.

1972

1982

Strasbourg, Auditorium de l'ORTF, avec tout l'instrumentarium que possédait les Percussions de Strasbourg à cette époque. ©DR/Philips.
Découvrez les événements marquant de la décennie

1972

Les Percussions fêtent leurs 10 ans d’existence et créent « Kryptogramma », de Georges Aperghis

Fête d’anniversaire des 10 ans des Percussions de Strasbourg. ©Archives.

 

1975

Une année riche en créations avec notamment une œuvre de Stockhausen et Taïra

Création de « Musik im Bauch » avec Stockhausen. La pièce a été présentée en 1975 au festival de Royan.

La pièce Hierophonie V de Yoshihisa Taïra est également un « tube » de l’ensemble créé en 1975 au festival de Royan et qui sera joué à de multiples reprises par toutes les générations des Percussions de Strasbourg. Un exemple de cette pièce avec Eddy Ekete en 2014, à retrouver sur notre chaine Youtube en cliquant ici.

1975

Tournée en asie, focus sur le festival international d’Osaka

 Le 13 avril 1975 à Osaka, Japon, avec le consul général de France. Tournée asiatique. Programme :  » Huit inventions » (1965) de Miloslav Kabelac, « Continuum » (1966) de Kazimierz Serocki, et « Persephassa » (1969) de Iannis Xenakis. 

1977

Tournée aux Etats-Unis et au Canada

Les Percussions de Strasbourg au TNS en février 1977 avec Jean-Paul Finkbeiner, Georges Van Gucht, Claude Ricou, Gabriel Bouchet, Jean Batigne et Olivier Dejours. Programme : « Clapping Music » de Steve Reich (1972).

1978

Tournée en Asie

De gauche à droite : Jean-Paul Finkbeiner, Claude Ricou, Georges Van Gucht, Detlef Kieffer, Gabriel Bouchet et Jean Batigne à l’arrière.

1979

« Pléiades », de Iannis Xenakis, pièce phare de l’ensemble

Création de « Pléaides » avec le Ballet du Rhin à Mulhouse en avril 1979 en présence de Iannis Xenakis. Salut de fin, avec, de gauche à droite : Olivier Dejours, Jean Batigne, Jean-Paul Finkbeiner, Iannis Xenakis, Georges Van Gucht, Claude Ricou et Gabriel Bouchet. 

Pièce phare des Percussions de Strasbourg, Pléaides sera jouée au cours de chaque génération de musiciens.

1980

Inauguration du local des Percussions de Strasbourg

Photos des locaux dans les années 1980 dont l’inauguration a eu lieu le 12 novembre 1980. Les musiciens des Percussions de Strasbourg en plein cours de Qi-qong. ©Archives Percussions de Strasbourg

1981

Ouverture de l’école de percussion et nouvelles possibilités d’appliquer la méthode Percustra

Illustrations : Extrait du Cahier Percustra 2A, 1975 by Alphonse LEDUC et Cie.

La pédagogie Percustra a été inventée et mise au point par les fondateurs des Percussions de Strasbourg, avec l’aide de Pierre Boulez, au début des années 70, puis diffusée dans le monde entier. Elle stimule, par une approche pédagogique collective désireuse de se démarquer des schémas académiques, le potentiel créatif de chacun. amateurs ou professionnels, enfants et adultes découvrent ainsi une musique qui s’exprime sur tous les supports, où la liberté créative – sonore et gestuelle – l’emporte sur la contrainte académique. Percustra est une approche active et collective de la musique ; des notions perceptives telles que l’écoute, la respiration, la pulsation, sont mises en perspective. Percustra se nourrit de la composition par les participants : toute idée personnelle d’un élève peut être intégrée à l’œuvre collective, l’enseignant (un musicien de l’ensemble) réécrivant ou adaptant la partition tout au long de l’atelier.

Plus d’informations sur Percustra et les actions de médiation de l’ensemble ici.

 

1982

1992

©Archives Percussions de Strasbourg
Découvrez les événements marquant de la décennie

1982

Le groupe a 20 ans

TF1 20h, « Percussion de Strasbourg ». Production : Boulogne Billancourt. Télévision Française 1 (TF1), 1982. ©INA

1983

Devant le Théâtre de Hautepierre, avec les deux nouveaux membres arrivés cette année là : Christian Hamouy et Keiko Nakamura

De face à arrière : Keiko Nakamura, George Van Gucht, Christian Hamouy, Claude Ricou, Jean-Paul Finkbeiner et Gabriel Bouchet (1983). ©Archives Percussions de Strasbourg

Cette décennie est le témoin de changement dans l’équipe des Percussions de Strasbourg. Tandis que certains membres de l’équipe d’origine cèdent leurs places, de nouveaux musiciens arrivent en tant que permanents : Christian Hamouy, Keiko Nakamura et Jean-Pierre Bédoyan. D’autres rejoignent également l’équipe en tant qu’enseignants ou comme musiciens occasionnels. C’est le cas de Jean-Michel Collet, Pierre Moerlen, Pierre Gasquet, Jean Couturieux et Norbert Jensen.

1984

Création de « Darkness » de Franco Donatoni

Photo du score de « Darkness », première version, 1984, édition Ricordi.

1985

Création de « Idmen » de Iannis Xenakis

« Idmen », création de Iannis Xenakis, pour le choeur Antifona de Cluj, le 24 juillet 1985 sous la direction d’Edmond Colombier dans le cadre du festival Europa Cantat à Strasbourg. Sur le devant de la scène, de gauche à droite : Keiko Nakamura, Christian Hamouy, Jean-Pierre Bedoyan, Iannis Xenakis, Edmond Colombier, Georges Van Gucht, Gabriel Bouchet et Claude Ricou. ©Archives Percussions de Strasbourg

1986

Création de « But what about the noise of Crumpling Paper » de John Cage

Photo des Percussions de Strasbourg avec John Cage en 1987. Avec, de gauche à droite : Jean-Paul Bernard, Jean-Pierre Bédoyan, Christian Hamouy (en rose), John Cage, Gabriel Bouchet, Claude Ricou, Georges Van Gucht et François Dahlman à l’arrière. ©Archives Percussions de Strasbourg

1987

25 ans pour les Percussions de Strasbourg

Affiche à l’occasion du 25ème anniversaire des Percussions de Strasbourg.

En septembre 1987 ont été créé au festival Musica :
Etres Fins en mouvement de Marek Kopelent
Clivages I de Emmanuel Nunes
Jungle Style de Daniel Tosi

1988

Arrivée de nouveaux musiciens dans l’Ensemble

De gauche à droite Keiko Nakamura, Jean Paul Bernard, Guillaume Blaise, Claude Ricou, Vincent Vergnais, Christian Hamouy. ©Archives Percussions de Strasbourg

À la fin des années 1980, de nouveaux membres arrivent aux Percussions de Strasbourg, remplaçant Georges Van Gucht (devenu directeur artistique) et Gabriel Bouchet.

1991

Création du « Noir de l’Étoile » de Gérard Grisey

« Le Noir de l’Étoile », de Gérard Grisey, création le 16 mars 1991 au Festival Ars Musica de Bruxelles. Six percussionnistes sont autour du public. La création originale nécessitait du sable au sol, le jour de la première mondiale et la première française à Strasbourg seront les seules fois où cela sera le cas car l’organisation logistique était trop lourde par la suite. ©Archives Percussions de Strasbourg

1992

2002

©Archives Percussions de Strasbourg
Découvrez les événements marquant de la décennie

1992

Création de « La Célébration des Invisibles » de P. Hurel et M. Rosenmann avec Amalgame et Musicatreize pour les 30 ans de l’Ensemble

Photo des répétitions de la pièce ©Isabelle Levy

La Célébration des invisibles par Philippe Hurel, création au Théâtre du Maillon le 03 novembre 1992 sous la direction de Rolan Hayrabedian et la collaboration entre les Percussions de Strasbourg, la compagnie Amalgame et l’ensemble vocal Musicatreize. C’est un « mélodrame pour percussions, choeur et théâtre d’ombres ».

1995

Création de « Métal » de Philippe Manoury

Portrait de Philippe Manoury ©Harmut Nagele

Création de Métal de Philippe Manoury à la Vilette à Paris, le 07 novembre 1995. Extrait en cliquant ici .

1996

Création de « Kits » de Philippe Hurel

Création de « Kits » de Philippe Hurel le 24 avril 1996 au Théâtre de la Criée à Marseille. De gauche à droite : François Papirer, Claude Ferrier, Philippe Hurel embrassant Olaf Tzschoppe, Bernard Lesage, Keiko Nakamura et Jean-Paul Bernard. ©Archives Percussions de Strasbourg 

1997

Re-création d’Erewhon de Hugues Dufourt

« Erewhon » a été créé lors du quatorzième Festival International d’Art Contemporain de Royan le 2 avril 1977 au théâtre du Casino Municipal sous la direction de Giuseppe Sinopoli.

 

1998

Création de « Bibilolo » de Marc Monnet

Pochette du CD « Bibilolo », Les Percussions de Strasbourg (Musidisc France – Universal Music 2001)

Création de Bibilolo de Marc Monnet le 17 janvier 1998, puis création des pièces 6 à 14 à l’Hippodrome de Douai, le 05 mai 2000.

2000

Création de « Même soir » de Heiner Goebbels

Photos de spectacle par ©Klaus Gründberg

Création de Heiner Gobbels, « Même soir » le 28 septembre 2000 aux Münchner Kammerspiele à Munich.Théâtre musical avec triptyque d’écrans et projection vidéo : Il s’agit d’un concert scénique où se mêlent à la fois des actions musicales avec des scènes théâtrales, des moments ludiques avec d’autres moments plus méditatifs, un spectacle audiovisuel avec trois écrans vidéos, des sons électroniques et des lumières.

 

2002

2012

©Guy Vivien
Découvrez les événements marquant de la décennie

2002

Création « Le Scorpion » de Martin Matalon

« Le Scorpion », M. Matalon, Les Percussions de Strasbourg. Musidisc France – Universal Music 2004

Le Scorpion, musique de Martin Matalon (2002) pour piano, six percussions et dispositif électronique. Pour L’âge d’or, film de Luis Bunuel (1930, 63 minutes, scénario : Luis Bunuel et Salvador Dali). Interprètes : Dimitri Vassilakis et les Percussions de Strasbourg.

2002

Anniversaire des 40 ans : Entente préalable

« Entente préalable », œuvre collective pour l’anniversaire des 40 ans des Percussions de Strasbourg. 12 compositeurs, Les Percussions de Strasbourg (Musidisc France – Universal Music 2000).

2003

Le groupe continue d’expérimenter dans son travail de recherche et création

Dans la rangée du bas : Bernard Lesage, Claude Ferrier, Jean-Paul Bernard. Au dessus : Olaf Tzschoppe, François Papirer et au sommet de la pyramide : Keiko Nakamura. © Guy Vivien

2005

Création de « Transir » de Michaël Levinas

Extrait du concert et de la pièce « Transir » au Théâtre de Hautepierre, Strasbourg le 29 octobre 2014.

2006

Création de « Delle Città invisibili » de Sebastien Rivas

Portrait de Sébastien Rivas ©Sylvain Gripoix pour Le Monde

Delle Città invisibili a été créé le 10 septembre 2006 à l’Abbaye de Royaumont (France), par Les Percussions de Strasbourg.

 

2007

« Les Arpenteurs », François Paris & Michèle Noiret

2007 ©Sergine Laloux

Chorégraphie : Michèle Noiret, Musique et conception : Alain Lagarde

2008

« Fishbones » d’Ondrej Adamek & « Childhood journeys » d’Andy Emler

Portrait d’Andy Emler, le compositeur de « Childhood journeys » © Sylvain Gripoix

Extrait musical de Fishbones d’Ondrej Adamek en cliquant ici.

2009

« Il funeralli dell’ anarchico Serantini » de Francesco Filidei

Concert à Yaroslav en Russie, le 5 avril 2011. De gauche à droite : Olaf Tzschoppe, Bernard Lesage, Claude Ferrier, Minh-Tâm Nguyen, François Papirer et Keiko Nakamura ©Archives Percussions de Strasbourg 

 

2010

Création de « Le père » de Michael Jarrel

Photos ©Monika Rittershaus

Théâtre musical d’après la pièce de Heiner Müller. Spectacle créé les 3, 4 et 5 juin 2010 au festival de Schwetzingen en Allemagne. Musique de Michael Jarrell et la mise en scène d’André Wilms.

2011

Re-création de « Pléiades » avec la compagnie Abrupt et tournée des 50 ans

Photos @Agathe Poupeney

Une nouvelle version de Pléaides a été créé en collaboration avec Alban Richard et le Centre Chorégraphie National de Caen le 24 juin 2011. Conception et chorégraphie : Alban Richard et la compagnie Abrupt.

2012

2022

© Vincent Arbelet
Découvrez les événements marquant de la décennie

2012

Les Percussions de Strasbourg ont 50 ans

Photo ©Laurent Khram avec, de gauche à droite Bernard Lesage, François Papirer, Olaf Tzschoppe, Minh-Tâm Nguyen, Claude Ferrier et Keiko Nakamura.

2013

Avec José Manuel Lopez Lopez, création de « Haikus del mar »

Avril 2013, lors de la création de « Haikus del mar » devant : Olaf Tzschoppe, Keiko Nakamura, José Manuel Lopez Lopez, Claude Ferrier. À l’arrière : Bernard Lesage, Minh-Tâm Nguyen et François Papirer. © Archives Percussions de Strasbourg

L’année 2013 voit aussi la naissance de l’oeuvre Terminals de Bobby Prévite.

2014

Création de « Burning Bright » de Hugues Dufourt

Salut de fin du concert au Théâtre National du Luxembourg 27 novembre 2014 avec Bernard Lesage, François Papirer, Olaf Tzschoppe, Hugues Dufourt, Enrico Bagnoli (création lumière et scénographie), Claude Ferrier et Minh-Tâm Nguyen. ©Archives Percussions de Strasbourg

2015

Premiers Live @ Home et nomination de Jean Geoffroy à la coordination artistique

Illustrations : Affiches des premiers Live @ Home, concerts organisés par les Percussions de Strasbourg au Théâtre de Hautepierre.

2016

Création du label des Percussions de Strasbourg et de l’oeuvre « Drum machines », eRikm

Illustration : logo des Percussions de Strasbourg. 

Drum-Machines, eRikm & Les Percussions de Strasbourg. Résidence de recherche, septembre 2015, Strasbourg.

 

2017

Création de « Ghostland » de Pierre Jodlowski

Photographies ©Matthias Plantard

2018

57 ans pour les Percussions de Strasbourg

Photo : Ondée ©Claudia Hansen

Deux œuvres marquent cette année 2018 : Ondée de Karl Naegelen et Regentanz de Hosokawa Toshio.
Ondée est un spectacle scénographié et mis en lumière évoquant des figures de l’eau. Regentanz, quant à elle est une œuvre du compositeur japonais Hosokawa et fait partie du disque Rains qui comprend Sange de Malika Kishin (2016), Hiérophonie V de Yoshihisa Taira (1975) et Rain Tree de Toru Takemitsu (1981) dont vous pouvez retrouver le teaser en cliquant sur « en savoir plus ».

Vidéo : France 3 Grand Est, « 57 ans de Percussions de Strasbourg », 2018. 

2019

« Timelessness » de Thierry De Mey, & « Kore » de Carmine-Emanuele Cella

Timelessness, Photo ©Christophe Urbain

Captation de Timelessness par Arte Concert en cliquant ici.

 

2020

Création de « Shaker Kami » de Nik Bärtsch et « 100 cymbals » de Ryoji Ikeda

©Patrick Lambin, « Shaker Kami » de Nik Bärtsch, 14 février 2020 au festival Jazzdor, Fossé des Treize à Strasbourg.